Quelques exercices pour faciliter l’étude du Vieux qui lisait des romans d’amour, roman de Luis Sepulveda.
I. Étude du premier chapitre : planter le décor.
L’incipit nous plonge dans un univers sordide, marqué par la violence, l’insulte, le pourrissement, bien loin des clichés sur les tropiques.
Plusieurs procédés sont à l’oeuvre, par un important travail sur le lexique. Voici pour démarrer un petit test de vocabulaire qui a pour but de vous faire relire et comprendre ce chapitre.
Pour commencer le test, il vous suffit de cliquer sur le fichier ci-dessous et de suivre les instructions... A vos dictionnaires !
En classe, nous ferons un relevé des champs lexicaux les plus significatifs. Nous relèverons aussi quelques figures de style. Vous pouvez ici vous entraîner à dissocier métaphore, comparaison et personnification :
Ensuite, nous formulerons un paragraphe qui permettra de passer de l’observation du texte à une explication (ou interprétation) de sa portée : quel est l’effet obtenu par ce chapitre sur le lecteur ?
II. L’art du récit : fiction et narration
Pour mieux comprendre la portée symbolique du récit, nous allons réfléchir à la façon dont la narration est structurée. Pour mieux comprendre que la narration n’a pas été faite au hasard, nous allons faire une distinction entre deux approches de la même histoire :
l’histoire telle qu’elle nous est racontée, dans l’ordre des chapitres, c’est à dire l’ordre de la narration ;
l’histoire telle qu’elle devrait se dérouler dans l’ordre chronologique, à savoir la l’ordre de la fiction.
Les deux exercices suivants ont pour but de vous amener à les distinguer.
Exercice 1 : reconstitution de la narration
Exercice 2 : reconstitution de la fiction
Une fois que vous les aurez accomplis, passez au questionnaire suivant, qui vous invite à réfléchir sur les passages-clés, mis en évidence par la narration :
Il ne nous reste plus qu’à comprendre ce que cette structure du récit apporte, sous forme d’un texte à trous qu’il vous faut compléter.
III. Un récit à portée argumentative
... patience...
Article de M. Saintin - Année scolaire 2007/2008